On y a trouvé des carreaux vernissés (comme au château de Gevrey-Chambertin) datés dit-on du XIIIe siècle ou apparaissent le duc de Bourgogne et le seigneur d'Orgelet chevauchant ensemble. Le châtelain pourrait être un Jean JOUFFROY. Du château, il ne reste que des ruines dans un site magnifique.
Seigneur d’Orgelet [Gilles JOUFFROY ?] - Comte de Chalon
-1336 : -Pierre JOUFFROY [h1] figura au nombre des gentilshommes qui se signalèrent en 1336 en défendant Besançon, inquiétée par les Anglais, Bretons et Gascons, tous assemblés à Troyes . - 1347 : - Hugues JOUFFROY[f], damoiseau au fief de son père, eut plusieurs enfants avec Isabelle de MONTAIGU notamment Pierre [h1] (ci après), Bertrand [h2] (ci-après) et Etienne[h3] (ci-après). Hugues JOUFFROY [f] décéda en 1347 -1348 : --Pierre fils de Hugues[h1] épousa une filles du sire de Savigny vers 1348. Il fut défenseur de Besançon. Sans pouvoir l’affirmer il eut probablement un fils dénommé Charles ( ?) Huguenin et peut être d’autres. ~1398 [ou 1348] :Bertrand [h2] co-sieur et habitant de Bletterans en 1398, le frère de Pierre [h1], écuyer, , vers 1348, épousa Catherine de Montmartin. Celle-ci testa en avril 1398, ajouta, huit mois après, un codicile à son testament (ces pièces existent dans les archives de Besançon), par lequel elle nomma exécuteur testamentaire son beau-frère Etienne JOUFFROY [h3], moine et grand chambrier de l'abbaye de Baume [les Messieurs ?] , collège de noblesse, où il fallait, pour y être admis, faire preuve de seize quartiers 1378-Charles-Huguelin JOUFFROY[i] (fils de Bertrand JOUFFROY [h2]) épousa Jeannette de Nance. Il s'installa à Luxeuil à la fin du XIVème siècle. Cet homme possédait de grands biens comme une grande partie du fief de Bletterans, et une demeure à Luxeuil. D'après nos recherches, on peut supposer qu'il devait avoir une grande importance en Franche-Comté et que de lui descendent les branches de Sarragoies et de Liesles. Le Sarrageois étant une frontière avec la suisse, et Liesle un passage obligé du Val d'amour près de la Loue (Confirmer ces suppositions en allant à la B.N.F). 14^2--Perrin JOUFFROY[j] un des enfants de Charles-Huguelin JOUFFROY [i] donna naissance à toutes les lignées connues des JOUFFROY en Franche-Comté. [Ceci est inexact vu le grand nombre de JOUFFROY du coté d’Orgelet dont l’origine est antérieure à Perrin JOUFFROY[j]. Par contre PROST peut avoir dit cela du fait de son intérêt à raconter l’histoire des Jouffroy d’Abbans. Pour ce qui est de Perrin JOUFFROY [j], ce fut un personnage très important de Luxeuil et de la région]. Le 13 juin 14^2, Perrin, [j]de naissance incertaine (nous conjecturons vers 1380 par recoupements, reprend le fief de Philippe-le- Bon, duc et comte de Bourgogne. L'acte de reddition du comte, passé devant le tribunal de la régalie, porte que sa maison a été de tout temps en grande vénération » . -1440 : Perrin JOUFFROI [j], est venu habiter Besançon, vers 1440, il y reçut le titre de Citoyen de cette ville, La maison de Jouffroy n'a cessé d'en faire partie que lorsque la ville elle-même cessa de choisir ses gouverneurs, ce qu’elle fit en 1674 -1380-1458 : Perrin JOUFROI [j], dont nous conjecturons qu’il naquit un peu plus de 20 ans avant la naissance de ses fils Paris [k1] et Jacque [k2]s, décèda en 1458. Ses armes sont sur la clef de voûte de l’Eglise des Cordeliers dans le couvent des cordeliers de Besançon (XIIIè) et dont la crypte (aujourd'hui inaccessible) cache les sépultures des membres de la famille de Chalon,),(Il existe aussi une Eglise des Cordeliers à Lons-le-Saulnier] Perrin [j] avait acheté, semble-t-il, la maison de Luxeuil. (la date semble sûre et en accord avec nos déductions) Il eut 2 femmes. Jeanne de Savigny et Marguerite de Prie. est mort à Cannes. Ses enfants furent [dans l’ordre de Prost qui en donne deux, -Paris JOUFFROI qui eut le château de GONSANS -Jean.JOUFFROI ; le CARDINAL qui habita LUXEUIL . -1-Paris JOUFFROY [k1] , <<fils aîné de Perrin JOUFFROY [j] et de Jeanne de Savigny>>,Nous conjecturons qu’il dût naître quand son père Perrin avait environ 20 ans, (ailleurs il est bien dit <<fils aîné>>) donc vers 1380 C’est Paris qui acheta le Château de GONSANS en 1452. Il était dit « citoyen de Besançon » par GASPARD(1849), p.249. Il épousa Pierrette MAILLARDET et en eut des enfants qu’il qualifia de damoiseau, du latin domicelli. <<De lui descendent 1.1-Geoffroi [L1], fondateur de la branche de Gonsans qui eut le château de Gonsans acheté par son père en 1452, 1.2-Jacques [L2] , fondateur de la branche d’Abbans1 qui reçu le château d’Abbans en 1484 par sa femme. PROST précise : <<Jacques JOFROI deuxième fils de Paris et de Pierrette MAILLARDET, épousa Anne de Joux en 1484 (Généanet) laquelle lui apporta en dot , comme nous l'avons vu, le manoir d'Abbans, un des fiefs de la maison de Joux (branche cadette), avec les terres y attenantes.>> 1.3-Henri , qui devint clerc, habita probablement la maison de son grand père Perrin à Luxeuil où il habita. Cette maison ‘à l’échauguette’ est inscrite aux monuments historiques depuis 1921 (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_du_cardinal_Jouffroy -2-Jean JOFROI[k2] , qui devint le célèbre cardinal sous Louis XI. ~1412-1473: Cle cardinal Jean Jouffroy [k2] , ou Johannes Jofredi (Jouffroi ou Joffredi) est né en 1412 à Luxeuil et mort en 1473 cardinal, aumônier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, qui lui confie des missions diplomatiques en France, Italie, Portugal et Castille. Il est nommé légat du pape Pie II en 1459 et cardinal en 1461, et conseiller du jeune roi Louis XI. Il accomplit de nombreuses missions diplomatiques dans toute l’Europe. Son corps est embaumé et porté dans la cathédrale d'Albi dont il fut l’évêque. On le disait humaniste et bibliophile et même pilleur de bibliothèques ! -1459 : Paris [k1] père de Geoffroi [L1] et de Jacques [L2] mourut en 1459 (cf. GASPA k1 RD (1849), p.294) -1547 : Séparation de la branche de GONSANS de la tige (GASPARD(1849), p. 294) -1634 ; Un JOUFFROY-GONSANS est grand-chambrier à l’abbaye de Baume, prieur de Brery et abbé de Theulé [cf . GASPARD (1849), p. 294)
6.7 Narration incertaine après la fondation des branches
A ce point, la narration qui était déjà confuse, devient pratiquement inextricable car l’auteur ne s’intéresse qu’à la branche d’Abbans sans toujours préciser s’il s’agit des Jouffroi d’Abbans ou des Jouffroi Gonsans. A partir de Geoffroi JOUFFROY[L1], fondateur de la branche de Gonsans, nous espérons, peut-être avec l’aide de diverses sources familiales ou non, rétablir la vraie filiation en dépit des archives brûlées par les allemands. Pour la suite nous l’explicitons sous toute réserve. On a pu noter par ailleurs qu’un certain Pierre de Jouffroi, seigneur de Gonsans, Talenay, et Villers, 4é fils d’Adrien [Huguenin ? ou plus tard, Paris [ ?] ou encore plus tard] épousa une Claudine de la Tour-St-Quentin dont il eut Etienne qui suit. -???? Etienne de Jouffroy, seigneur de Gonsans et Talenney, aurait eu 22 enfants de Claudine fille de Claude Jouffroy , seigneur d’Abbans dont un seul fut marié, nommé Antoine qui suit ; puis Jean Baptiste qui fut chanoine et grand chantre à l’église métropolitaine, et François, abbé de Theuley. - 1636 : Antoine de Jouffroy, seigneur de Gonsans, épousa Guillemette de Reithna, [ ?]…, noble maison d’Alsace. Antoine fut tué au siège de Quingey où il commandait en 1636 et laissa de son mariage , Gabriel et des filles chanoinesses à Baume. -1647-1648[ ?] Francois de JOUFFROY-GONSANS (cf. GASPARD, p.521,p.244 ainsi que les suivants descendants ci-après. -1673 : Gabriel de Jouffroy-Gonsans, qui fut reçu chevalier de St Georges, en 1673, et continua la postérité qui subsiste encore aujourd’hui et dont on trouve les dernières alliances -Maures-Chatenay, Poligny, Lallemand et Froissard [?] -1798 : N…de Jouffroy-Gonsans, reçu religieux -1704, 1705, 1717 : Claude-François de Jouffroy-Gonsans -1707 : Etienne-Gabriel de Jouffroy-Gonsans -1721-1799 : François-Gaspard de JOUFFROY-GONSANS le ‘dernier’ évêque de la révolution, pour finir le siècle -1738-1788 : Louis-François-Gabriel [ ?] -1796 : fin d’un lignage comtois avec Michel de Jouffroy, baron d'UZELLE( 1727-1796), et Marguerite de Jouffroy (1781-1826) par BISCARRAT LECULIER. http://www.galaxidion.com/home/catalogues.php?LIB=jardin&CAT=63222]
6.8 Méconnaissance des origines des Jouffroi
Il est intéressant de mettre en lumière la probable méconnaissance de leurs origines par les Jouffroi mais qui ne fut découvert que suite à la notoriété de l’inventeur.
Nous laissons donc la parole à Achille de Jouffroy (d’Abbans) qui s'exprime ainsi :
« Des indications tirées de notre nom patronymique, des lieux où l'ancienneté de nos possessions seigneuriales semblaient assigner une époque reculée à notre premier établissement, enfin de certains traits particuliers de nos caractère, transmis chez nous de père en fils, m'ont toujours fait penser que nous descendions de quelque soldat ou chef subalterne qui luttèrent contre l’envahissement de leur pays, par les nouvelles hordes germaniques, à diverses reprises, entre le cinquième et le neuvième siècle. Cette conjecture a pris chez moi un tel degré de probabilité, que je ne saurais m’imaginer que le sang qui court dans mes veines pût être celui d'un Gaulois conquis ou d’un Romain civilisé. Dans ces aspirations rêveuses où l'homme, livré à lui-même, faible roseau secoué par les vents, voudrait se replier sur sa tige pour y trouver un appui; lorsque mon esprit, troublé dans son isolement, désirait vaguement d'interroger, plein de respect, l'esprit des ancêtres, j’ai toujours entrevu, près de ma couche imaginaire, l'austère figure d'un Goth, d'un Burgunde ou d'un Franc. » En fait il oubliait de citer la Catalogne. .]
7. RIA et la CERDAGNE
Nous avons vu que Prost identifie les comtes de Ria comme venus en Bourgogne sous les Comtes de Chalons. Cela nous a conduit à investiguer de ce coté et à revenir encore en arrière probablement avant leur arrivée en Bourgogne au XIè siècle.
7.1 La région de la Cerdagne et de Ria, origine des JOUFROY
Les Jouffroy seraient donc semble-t-il descendants des comtes de RIA originaire de Cerdagne. On va voir pourquoi. Pour cela reportons-nous au site http://ayguatebia.free.fr/historique.htm « I:effondrement du royaume wisigothique, au début du VIIème siècle, sous les assauts des musulmans, marque la fin de l'antiquité tardive et l'entrée dans le moyen-âge. Sous les Carolingiens, les Francs aident les Wisigoths et les descendants des Keretes à les chasser et président à la reconstruction politique du pays : constitution des comtés de Cerdagne, de Conflent et de Razès (plateau où se trouve Rennes le Château, origine de l’histoire plus ou moins inventées du Da Vinci Code !) (où se trouverait une partie de trésor de Jérusalem emporté de Rome par les Wisigoths et Alaric et Ataulf) auquel est rattaché initialement le Capcir. » Nous allons creuser cette question ici en nous focalisant sur les comtes de Ria en Cerdagne dont nous découvrirons l’extraordinaire descendance historique.
D’abord en remontant en arrière ont découvre des généalogies partant de descendants de Mérovée : -Guillaume MEROVINGIENS , comte de Rhedae dans le Razès, né vers 735, décède vers 781, [Le Razès jouxte la Cerdagne] Marquis de Gothie, duc de Septimanie, comte de Razès, 796, comte de Barcelone, 801-802 -MÉROVINGIENS-WISIGOTHS Béra IV (Bera I du Razès), né vers 755, mort 813 fils de Guillaume, mère Romille ? Enfants : Argila 775-836, Rotrude , décès 855, Willenont , Ermengarde -Oliba (Oliba 1er comte de Carcassone dit MEROVINGIENS) fils du précédent On trouve aussi une autre généalogie à partir de Bellon. Celui-ci décéde en 812 (peut-être Bera mort en 812 selon les manuscrits) qui apparaît en tant que comte de Carcassonne, d'Ampurias, d'Ausonne (même nom que la ville d’Auxonne sur la Saône, probablement amené dans la région où s’installèrent les Ria en Franche Comté), de Cerdagne, d'Urgell, de Barcelone. Il a eu 5 enfants qui prendront sa succession à des moments différents de leurs vies.
878 :Guifred I ou Guilfred 957-968 Sunifred II, comte de Cerdagne et de Besalú Gislefroy (comte de Carcassonne ? 968-988 Oliba Cabreta, comte de Cerdagne et de Besalú (984-988) ? 988-1035 Guifred II, comte de Cerdagne ? 1035-1068 Ramòn Ier, comte de Cerdagne (en1058, on trouve cité un certain comte Ramon Guifré de Cerdagne) ? 1068-1095 Guillem-Ramòn Ier, comte de Cerdagne et de Berga ? 1095-1109 Guillem II Jorda, comte de Cerdagne ? 1109-1117 Bernat ( Bernat 2 [ ?] Guillem Jorda, comte de Cerdagne, de Conflent, de Berga
Guilfred le Velu Mais revenons en arrière à Guifred où l’on peut lire En 878 Guifred (dit aussi Guifré el Pelos, Guifré le Velu,), né au château de Ria, dans le haut Conflent, est le fils de Sunifred 1er, comte d'Urgell et de Cerdagne. Lors du Concile de Troyes en 878, il obtient de Louis II le Bègue (846-879) roi des Francs (877-879) la destitution de Bernat 1er, (dit aussi Bernat de Gothie, un franc malgré son nom) comte de Barcelone, à son profit. Il prend alors le titre de Comte de Barcelone et de Gérone, alors que son frère Miron 1er prend celui de Comte du Roussillon. Guifred est l’unificateur de la Catalogne., [http://pyreneescatalanes.free.fr/Villages/Histoire/Ria.php]Ailleurs on lit : 878 : Guilfred le Velu était devenu Comte de Barcelone et de Cerdagne 897- Miron 1er, son frère, prit celui de Comte du Roussillon. Jusqu'en 897, il gouverne seul ses comtés. Hardi combattant il défait les Musulmans à plusieurs reprises. Une légende attribue d'ailleurs le nom de "Pont des Sarrasins" au pont de Rodés, (nom qui ressemble à celui du pont de Roide dans le Doubs non loin de Gonsans) peut être en référence à ces batailles. Devenant marquis de la Marche d'Espagne, il épouse Gunédilde de Flandres. ~885 Guifred créa le comté d'Ausonne (à coté de la Cerdagne , mais même nom qu’Auxonne en Franche Comté ?) et rétablit l'évêché sur les territoires reconquis aux sarrasins. Prévenant un éventuel retour des infidèles il développa le catholicisme en faisant édifier des abbayes : Santa Maria de Ripoll (880, consacrée en 888), San Joan de las Abadesses (885), alors qu'en Conflent son frère Miron créait Saint Michel de Cuxa (879) -897 : Guifred le Velu mourut en combattant le seigneur musulman Llop ibn Muhammad, encore plus au Sud. Il a son sarcophage dans l’église de l’ancienne abbaye de Sant Joan de les Abadesses, dont sa fille fut la première abbesse. Un carnaval montre que l’on célèbre encore sa mémoire http://fr.wikipedia.org/wiki/Comt%C3%A9_de_Cerdagne
Armoiries des comtes de Cerdagne http://pyreneescatalanes.free.fr/Villages/Histoire/Ria.php et Blason de la ville de Ria-Sirach [cf. le site http://pyreneescatalanes.free.fr/Villages/Histoire/Ria.php
Dans PROST la description des armoiries parle de 6 pièces mais on n’en voit que deux ici et à l’horizontale.
Ailleurs on trouve encore les renseignements chromologiques qui suivent : .-801-812 Bellon, comte de Carcassonne, de Barcelone, d'Empúries, d'Osona, de Cerdagne, de Conflent, d'Urgell .-812-848 Sunifred Ier, comte de Barcelone, d'Osona, de Cerdagne, de Conflent, d'Urgell, de Gérone, duc de Septimanie, marquis de la marche d'Espagne .-848-878 Salomon d'Urgell .-878-897 Guifred le Velu, comte de Barcelone, de Gérone, de Besalú, de Cerdagne, marquis de la marche d'Espagne, fils de Sunifred I. .-897-927 Miron II le Jeune, comte de Cerdagne et de Besalú .-927-948 Sunifred II, comte de Cerdagne .-948-957 Sunifred II - Guifred II, comtes de Cerdagne et de Besalú (co-règne) .-957-968 Sunifred II, comte de Cerdagne et de Besalú .-968-988 Oliba Cabreta, comte de Cerdagne et de Besalú (984-988) .-988-1035 Guifred II, comte de Cerdagne .-1035-1068 Ramòn Ier, comte de Cerdagne .-1068-1095 Guillem-Ramòn Ier, comte de Cerdagne et de Berga .-1095-1109 Guillem II Jorda, comte de Cerdagne .-1109-1117 Bernat Guillem Jorda, comte de Cerdagne, de Conflent, de Berga .De Carcassone Oliba I Comte (1414011159744) (800 - 836) Carcassone Oliba De Razes II Comte (353502789936) (848) On peut se reporter à : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liber_feudorum_Ceritaniae http://fabpedigree.com/s024/f242322.htm => Bello https://ca.wikipedia.org/wiki/Fitxer:Rotlle-genealogic-guifre-I-de-barcelona.jpg Taper « guifré et pilos sies » sous wikipedia où l’on trouve une partie de ce qui suit 7.2 Guifré el Pilós, El nom i raó del malnom
Guifré és un nom d'origen germànic, «Wigfred», que etimològicament significa: "Pau Victoriosa".[3] -En català s'accepten les variants: Guifre, Guifré, Grifé, Jofre i Jofré. -En els documents coetanis al comte Guifré el Pilós, escrits en llatí, el seu nom apareix escrit: «Guifredus» i «Wifredus». -En la Gesta Comitum Barchinonensium escrita en llatí, apareix escrit: «De Guiffredo pilose» i «Guifredo, qui cognomitamus est Pilosus». -En la Crònica de Bernat Desclot escrita en català, apareix escrit: «Guifre». -En la Crònica dels Reis d'Aragó i Comtes de Barcelona escrita en català, apareix escrit: «Guiffre». -En la Genealogia regum Navarrae et Aragoniae et comitum Barchinonae escrita en llatí, apreix escrit: «Guiffredus». En la Histories e conquestes dels Reys de Arago e Comtes de Barcelona escrita en català, apareix escrit: «Grifa».
La
Gesta
Comitum i la Llegenda
de Guifré El malnom de «Pelós» apareix per primera vegada a la Brevis historia monasterii Rivipullensis, una crònica catalana escrita en llatí el segle XII que recopil·la la història del Monestir de Santa Maria de Ripoll des de la seva fundació pel comte Guifré el 888 fins el 1147. Aquesta crònica va ser font de la Gesta Comitum Barchinonensium «Gesta dels comtes de Barcelona», que comença amb la Llegenda de Guifré el Pilós. Aquesta llegenda recollida en la Gesta explica que la raó d'aquest malnom era que tenia pèl allí on els homes no acostumaven a tenir-ne, sense concretar on, de manera que, segons la llegenda, en retornar Guifré de Flandes a Barcelona disfressat de pelegrí, la seva mare el va reconèixer immediatament. 7.3 La llegenda de Guifré el PilósArticle principal: Llegenda de Guifré el Pilós Voir le site “Fitxer:Sant Miquel de Cuixà - Claustre.jpg” Clustre (Cloître) del Monestir de Sant Miquel de Cuixà (Conflent)Els orígens familiars de Guifré I de Barcelona eren desconeguts durant l'alta edat mitjana. La Llegenda de Guifré el Pilós, recollida per primera volta en la saga Gesta Comitum Barchinonensium, narra que aquest era fill d'un cavaller que també s'anomenava Guifré, originari de la vila de Rià (o d'Arrià); aquesta llegenda fou recollida pels monjos del monestir de Santa Maria de Ripoll i comença amb les següents paraules:[8][9] <<Pels relats dels antics, sabem que en un temps llunyà hi hagué un cavaller de nom Guifré, oriünd de la vila anomenada Arrià, que és en territori del Conflent, tocant al riu Tet (près der la rivière Tet), prop del monestir de Sant Miquel de Cuixà. » — Gesta Comitum Barchinonensium Aquestes primeres paraules de la llegenda situen el lloc d'origen del cavaller Guifré d'Arrià, pare llegendari de Guifré el Pilós, a la vila Rià, situada prop del riu Tet i del monestir de Sant Miquel de Cuixà, a l'antic Comtat de Conflent (el mil·lenari comtat del Conflent fou amputat de Catalunya i annexionat a França pel Tractat dels Pirineus l'any 1659).
Il existe une variante sur l’origine réelle de Guilfre le Velu et du nom ou des responsabilités de son Grand Père Belon . On a ainsi la filiation suivante (selon la Teorie de Borrell I d'Osona= Théorie de Borrell I ’Ausonne) => Borrell I (Belon?) d’Auxonne (Visigoth) => => Sunifred I d’Urgell=> => Guifre de Barcelone => => Ermessenda <= Bel la de Carcassona (Visigoth).
7.4 Le Tourisme et Guifred le Velu.
Nous extrayons ce qui suit d’un site touristique [peut être pas très exact sur l’histoire]. « Ce personnage [Il y a plusieurs Guifred avec des confusions . Internet n’est pas toujours très sûr] est nommé différemment en fonction des époques et des personnes : Guiffred, Wilfred, Guiffre et même Joffre le Velu sont d'autres versions de son nom . Il eut plusieurs enfants dont : Miron II le Jeune, futur comte de Cerdagne et d'Urgell, Borell 1er et Sunyer 1er , futurs comtes de Barcelone, de Gérone et d'Ausonne ( probable interversions avec les oncles ou ascendants), Mais précisons qui était Guifred le Velu, Comte de Barcelone, (on pourrait dire Guilfred le Barbu !) Le château de Ria, bien qu'aujourd'hui détruit, est très connu car c'est là qu'est né et a vécu le comte Guifred le Velu (927[confusion de dates ?]), unificateur de la Catalogne, donc née à Ria, ce qui est matérialisé par le drapeau catalan visible par tout un chacun lorsqu'il passe par la Nationale, ainsi que par un petit monument rappelant l'unification, sur le site même du château. Ce château fut l'un des refuges des catalans refusant de devenir français après l'annexion de la région par Louis XIII, en 1659. En 1672 il fut détruit par Louis XIV.(comme bien des châteaux de Franche Comté,) Il est en cours de réhabilitation depuis 1988 par l'association "El Casal d'Arria", qui tente de mettre à jour la structure des bâtiments. On peut y voir des restes de murs arasés et la citerne (hélas comblée). Voila ce qu’en dit un descendant de la famille Meurs :(http://www.meurs.be/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=181) « Mais c’est lorsque j’ai vu une rue dédiée à Berenguer “el vell”, Bérenguer ou Béranger “le vieil” que mon intérêt généalogique s’est mis à fonctionner. Ce personnage fut comte de Barcelonne, lesquels sont de même souche que les comtes de Provence qui figurent parmi nos ancêtres MEURS à plus d’un titre. Il y a des liens aussi avec les familles d’Aragon, de Toulouse, et avec la première maison des Ducs de Bourgogne, bref une belle série d’alliances qui excèdent ma mémoire et ne feraient qu’encombrer la vôtre, c’est pourquoi je ne donne pas ici la filiation que l’on peut trouver sur Wikipedia ou ailleurs. »
7.5 Les Comtes de PROVENCE descendants des Comtes de RIA
Nous démontrons ici que les Comtes de Provence descendent des Ria. Et en particulier de Guifred le Velu branche aînée des Ria. En effet Raymond Berenger comte de Barcelone (1082-1131) épousa Douce de Gévaudan qui par sa mère Gerberge de Provence et après la mort de son père, apporta en héritage, à son mari le comte de Barcelone , tous ses droits sur les comtés de Provence. Elle eut 7 enfants dont -Raimond-Béranger (1113 † 1162), comte de Barcelone , et -Bérenger-Raimond (1114 † 1144),dit le Vieux, comte de Provence marié avec Petronille, reine d’Aragon Il qont il eut -Alphonse 1er , qui engendra -Alphonse 2 qui engendra -Raymond Beranger comte de Provence dit le Grand père des 4 reines dont -Marguerite femme de Saint Louis et -Béatrice femme de Charles d’Anjou, roi de Sicile
7.6 Origine et descendance des RIA
Cette famille est très probablement d‘origine Visigothique du fait de l’association de ce nom avec celui des Visigoths et descendante de Mérovée à cause du nom de ‘Mérovingiens’ utilisé par une famille de la région toute proche peut être même des Ria.
On peut en déduire que les Ria, probablement de la lignée des Mérovingiens, sont bien à l’origine de presque toutes les grandes familles de France : des Comtes de Provence, et même des descendants de Saint Louis et de Marguerite de Provence.
7.8 Localisation du château de Ria
Quant au château de Ria, il se trouve sur une hauteur près du village de Ria, en descendant de Cerdagne vers Perpignan. Il n’en reste que des ruines. Et il est tout de même étrange que le village en ait fait don à un JOUFFROY, meme ruine.
On peut lire ce qui suit à ce propos : Le château de Ria apparaît très tôt dans l'histoire locale. Après la pacification du Roussillon par les troupes de Charlemagne, ce dernier favorisa l'implantation de grandes abbayes, centres culturels et religieux de civilisation. Ainsi fut créé l'abbaye de St Michel de Cuxa, qui aura un impact dans tout l'Europe. Pour protéger la vallée de la rivière Têt, où se trouvait cette abbaye, le comte de Cerdagne (le père ou le grand père de Guilfred ?) fit construire un château à Ria destiné à en verrouiller l'accès, château qu'il occupa. Sa première mention date de 855, [Donc avant Guillaume le Velu et probablement du temps de Suniver 1er ou encore avant.
RIA (sous la forme "Arria") est cité en tant que possession de la puissante et toute jeune abbaye St Michel de Cuxa. Il a été construit sur le pic rocheux à 440 m d'altitude, qui était le site d'un ancien château wisigothique des Ve et VIe siècle, construit sur l'emplacement d'une ancienne tour de surveillance romaine de la Via Confluentana (-118 avant JC) On peut se reporter sur les sites http://pyreneescatalanes.free.fr/Villages/Histoire/Ria.php http://pyreneescatalanes.free.fr/Thematiques/Biographies/Guifred.php http://pyreneescatalanes.free.fr/Thematiques/Batiments/Histoire/ChateauDeRia.php
La tradition de la commune de Cerdagne s'est conservée vivante aussi bien dans les Pyrénées que dans le Jura, puisque, nous avons vu qu’en 1829, lors d'un voyage fait en Cerdagne, par Achille de Jouffroy d’Abbans , le conseil municipal de cette commune prit spontanément une délibération par laquelle, voulant reconnaître, dans la personne d'un des fils de l'inventeur de la vapeur appliquée à la navigation, le descendant des anciens comtes de Ria, il lui offrait en don le château de ses pères, sur lequel étaient encore gravées ses armes. En même temps une députation des habitants, répondant au vœu de la municipalité, lui apportait en grande pompe les clefs de la ville ; il y a, en fait, -nous l’avons vu-, à Cerdagne des restes d’un château Wisigothique du Vè siècle.
Toujours d’après PROST, les Jouffroy font remonter leur origine à un certain Jofroy, seigneur de Ria en Cerdagne, mais l’époque précise où ils vinrent se fixer en Franche-Comté est inconnue. On peut conjecturer que c’est vers le XIè siècle que cela arriva. On aura remarqué la similitude entre les prénoms Guilfred, Jofroy et Jouffroy .
BLASONS des Bourbons-Dampierre, de Guilfred le Velu, Cerdagne/Catalogne
8. CONCLUSION
Pour l’histoire du château de Gonsans et de la famille des Jouffroy, le personnage central est celui de Perrin JOUFFROY mort en 1458 qui eut 2 enfants, Paris et Jean le cardinal. Paris fut le veritable père des diverses branches : celles de -Geoffroi de JOUFROY [L1], fils ainé, qui reçu le château de GONSANS de son père Paris qui l’avait acheté en 1452 et qui du fait de ses caractéristiques devait dater des XIè-XIIè siècles. -Jacques de JOUFFROY [L2], son frère, qui reçu et le château d’ABBANS [classé monument historique] de sa femme en 1478 mais qui daterai aussi des XIè-XIIè-XIIIè siècles. -Henri de JOUFFROY[k3], clerc qui resta habiter la maison de LUXUEIL (classée monument historique) qu’avait fait construire son grand père, Pierre JOUFFROY, qu’habita aussi le cardinal de JOUFFROY. Et qu’on date du XVè.
Si Geoffroy de JOUFFROY, ou son père Paris acheta le ‘château’ de Gonsans, c’est que celui-ci préexistait et, vu sa configuration et son architecture, tout laisse à penser qu’on peut lui donner une origine au XIè-XIIè. A notre connaissance aucune recherche n’y a été conduite et pourrait révéler bien des surprises.
Quant à la famille des JOUFFROY on a vu qu’on pouvait déterminer sa présence en Franche Comté autour des XIè et XIIè siècles en provenance de la Catalogne et de Ria en Cerdagne, il y a encore à poursuivre les recherches. . En attendant, nous avons vu que la famille des RIA de Cerdagne est de façon surprenante à l’origine de bien des familles européennes, de celles des Jouffroy, des Comtes de Catalogne, mais aussi de celles des comtes de Provence et de tous les rois descendants de Saint Louis.
Evidemment tout n’a pas été résolu et il restera toujours à approfondir bien d’autres questions constitutives de l’histoire de l’Europe.
9. REFERENCES
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Monnaies ou Sceaux aux armes de Pierre Francois de JOUFFROY (d’Abbans ?)
ANNEXE 1 : La France sous Lothaire après Charlemagne
Pour comprendre ce qui s’est passé nous devons rappeler aussi la restructuration de l’Europe après Charlemagne
que nous devons à Louis-le-Pieux, fils de Charlemagne qui promulgua en 817 le capitulaire "Ordinatio Imperii" (Ordre de l’Empire) dans le but de régler de son vivant sa succession entre les 3 fils qu'il eut de sa 1ère femme Ermengarde : -Lothaire Ier, l'aîné, est proclamé empereur et partage avec son père l'exercice du pouvoir, puis -Pépin Ier, subordonné à son frère Lothaire, reçoit l'Aquitaine, et le nord.Il y eut ultérieurement des basculements sur la Catalogne. -Louis le Germanique, également subordonné à son frère, reçoit la Bavière et l’est. Mais Louis-le-Pieux aura un nouveau fils en 823, Charles-le-Chauve, et sa nouvelle épouse Judith de Bavière n’acceptera pas que ce dernier n'ait pas de royaume et cela provoquera 10 années de troubles. Les comtes de catalognes, profitant de l'affaiblissement de l'autorité carolingienne, acquirent le statut de comté indépendant à la fin du Xe siècle, puis résistèrent victorieusement à l'avancée des Maures. À la suite du mariage en 1112 du comte Raymond Béranger III avec Douce, héritière de Provence, les comtes catalans exercèrent leur autorité de 130 ans sur la Provence de 1113 à 1245. Mais c’est probablement bien avant cela que des catalans émigrèrent vers la Franche Comté. Il faut rappeler que la Catalogne eut toujours des sympathies pro françaises, mais fut vaincue par la politique centralisatrice de Madrid qui lui ôta ses derniers privilèges, qu’en 1714. Nous verrons que cela a de l’importance pour expliquer la venue des JOUFFROY vers la Franche-Comté puis Gonsans, vers les XIV-XVè siècles. Mais en attendant la Lorharingie rentra dans les possession de la Germanie après l’ accord de Meerssen en 870 avec Charles le Chauve, pour longtemps.
ANNEXE 2 : châteaux proches
Il serait très intéressant d’étudier les châteaux proches ou en tous les cas d’époques similaires qu’ils soient encore debout ait été démolis ou reconstruits, à l’antique ou non. Bouclans, Naisey, Champlive, Cote Brune, Chaux les Passavant, Montfaucon ; San Juan, Arguel, Abbans, ceux de la vallée de la Loue : Ornans, Lods, Mouthier-Haute-Pierre, ceux sur le Doubs, ceux sur l’ Ognon dont celui de Rigney, sans compter le château d’Arlay qui devait donner une idée de celui de Gonsans, ceux liés aux Jouffroy, Orgelet, Abbans, Gonsans.
ANNEXE 3 : MAISON et CHATEAUX des JOUFFROY
Fig 1.Maison des Jouffroy, Luxeuil, classé monument historique Fig 2.Château d’ABBANS dessus, classé monument historique
2.La plateforme, le corps de logis, les bâtiments des communs, le cabanon de jardin ainsi que le jardin font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 7 août 19923. Le donjon et la galerie de portraits du rez-de-chaussée du château font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques du 5 juillet 1993. http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Jouffroy-d%27Abbans - cite_note-PA00101435-3
Fig3.la Tour fortifiéed’Orgelet , reste des Murailles de a ville. La ville vit naître cadet Roussel ! mais aussi le découvreur de la Pierre de Rosette ! et un chatelain de Jouffroy !
Fig.4 : carreaux représentant peut être le chevalier de JOUFFROI..
Fig.5: L’ancien abreuvoir. Fig.6 :Vue du parc du château .
Fig.7 : Facade sud du château avec le bas d’une probable ancienne tour à gauche.
Eglise de Gonsans, classée monument historique.
@ECLIPSE 19 mai 2013 Aix- en –Provence 13, Gonsans 25 Toute copie ou reproduction interdite.. 04.42.26.68.07 (Raylond Tr.), 03.25.52.58.34 (Louis Tr.) 1 Il daterait du XIIIè et refait au XVII et XIIIè , classé MH. On lit cette anecdote sur les franchises accordées à ce château par le comte de Chalon : « Qu'il est libre aux habitants du bourg de vendre leur maison à qui ils voudront, pourvu toutefois, que ce soit à d'autres habitants du bourg, et du consentement dudit seigneur, qui, pour droit de lot, recevra le douzième du prix, si mieux il n'aime se le retenir en payant à l'acquéreur le prix de son acquisition. » (PROST (1889))
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