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Homblières fait partie de la communauté de communes de Saint Quentin.
Sainte Hunégunde, abbesse d'Homblières en 692.Représentation allemande de la Sainte, beaucoup plus connue en Allemagne où le prénom est resté commun. Sa vie, son histoire dans la page des Saints du Vermandois | |||||||||
La plus ancienne trace de présence chrétienne en France Belgique , aujourd'hui conservée au musée de Cluny |
Le 7 novembre 1918 au presbytère d'HomblièresLa rencontre attendue depuis quatre années ! |
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Les soldats français attendent
la sortie des plénipotentiaires. Au moment du café, Debeney entre et discute brièvement avec les Allemands, s'excuse de l'indigence de son accueil. A 1h 30 du matin, il part le premier laissant au commandant Bourbon-Busset le soin d'accompagner les plénipotentiaires jusque Tergnier où ils doivent prendre le train. |
Les plénipotentiaires allemands avec les officiers
français à la porte du presbytère.
A Tergnier, la ville est aussi complètement dévastée, la gare est éclairée par des torches. Un train spécial les attend : deux wagons transformés en cabinet de travail aux vitres masquées. Dans la nuit, le convoi se dirige vers Rethondes, vers la fin d'une guerre meurtrière qui s'éternise… |
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Wayne G Zeigler Retour d'un héros sur les lieux de son atterrisage forcé ! Accompagné de son épouse Eunice et d'une partie de sa famille (soeur, enfants, petits-enfants et arrière-petit-fils), l'aviateur américain Wayne Zeigler, 90 ans, est revenu hier à Homblières. Village où il entretient de solides amitiés, en particulier avec la famille Brasset, depuis sa première venue en septembre 1997. Mais sa première « visite » sur le sol saint-quentinois remonte à la Seconde Guerre mondiale. Au matin du 2 janvier 1945, quand le pilote de B 17 s'est craché dans un champ des environs, après une panne moteur qui l'avait contraint de faire demi-tour lors d'une mission de bombardement prévue à Aachen (Aix-la-Chapelle) en Allemagne. Ce matin-là, on a vu une immense masse noire s'écraser vers la colline. Des bombes de l'avion ont explosé à 600 mètres de la ferme de mon père qui a accouru avec une fourche. J'ai suivi mon père et on s'est approché d'un parachutiste qui était blessé », raconte Maurice Brasset, âgé de 14 ans à l'époque. Le « grand oiseau blanc », était l'aviateur Wayne Zeigler, engagé en 1942 dès ses 18 ans. Après une courte convalescence, Wayne Zeigler bombardera Berlin le 3 février 1945, l'une de ses 28 missions. La dernière consistera à convoyer trente prisonniers français, de l'Autriche à Paris. Après une visite des plages de Normandie, les Zeigler regagneront la ville d'Iowa Falls (État d'Iowa) où leurs amis du Saint-Quentinois sont pour toujours dans leur coeur. La maire Bernadette Bleuse lui a offert la médaille du village. ------------------------- Sa citation dans l'Air Museum américain Major Wayne G. Zeigler, Pilot, 385th Bomb Group I flew 28 combat missions over Germany to Strategic targets. Had to bail out on my 9th mission, 2 Jan 45. Came down 2 miles from St. Quentin, France 12 miles on the Allied side of Battle of Bulge's front lines. I was injured. Picked up by French civilians who took me to a field hospital at St. Quentin. After about 2 weeks I was released. I made it back to my base arriving Jan. 28th and I went on my next mission to Berlin on Feb 3 '45. When war ended 18 Apr 45 I flew 3 food missions to Holland. I flew one mission to Lintz, Austria to fly 30 french Prisoner of War (POW)s to Paris. In mid-June 1945 I flew my B-17 and 20 base personnel plus my crew back to US Air Medal w 3/Oak Leaf Cluster; WW II Victory Medal; EAME medal w 3 stars; Armed Forces Reserve Medal; American Campaign Medal |