La secret militaire Image défense


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La Vérité !
Car il n'y en a pas d'autre !
entête du 4/12/2025
L'apparition, depuis peu, de la photo censurée du poste de commandement français au pied du donjon et la preuve de l'existence d'un canon français de type grosse Bertha dès 1915,
témoignent, de manière absolue, que Guillaume II a dit le vrai en justifiant le minage, quasiment au sol du donjon, car celui-ci avait un objectif militaire parfaitement dangereux eu égard à la situation militaire du front début 1917.
La France, en maintenant les narratifs :
de volonté d'abattre la fierté féodale française,
de monument déjà en quasi-ruine,
de preuve de la barbarie du peuple allemand pour les générations futures,
en ne mentionnant pas l'offre de paix séparée,
ment effrontément
et empêche la société civile française et tous les citoyens européens dans leur projet de restaurer le plus important monument médiéval non religieux du continent européen !
L'Ardocc s'autorise maintenant à proclamer la vérité ouvertement
à tous, du citoyen lambda à la Commission Européenne.
Il est temps de dire, débattre, restaurer pour la vérité et la paix !


Apport de juin 2025
Et si le maintien en ruine cachait un secret militaire !
(qui n'en serait plus un ?)




Les secrets, occultations et mensonges ne résistent pas au temps et le ministère des armées, soucieux de s'adapter aux temps modernes où les archives et photos sont supposées contribuer à la gloire de ses chefs et à la vaillance de ses soldats, parfois laissent fuiter des secrets dont les petites mains qui traitent les images n'ont pas conscience .

Ainsi apparaît, dans le site "images défense" au milieu de 190 clichés concernant la destruction de Coucy-le-château, un cliché bien singulier que nous diffusons avec son commentaire d'interdiction pour censure .

Elle présente dans le sous-sol du donjon ce qui est un centre téléphonique .

De par sa situation, il s'agit d'une installation antérieure à la destruction que certainement Guillaume II a vue lors de son passage à Coucy .

Peu de temps après la destruction, Guillaume II a été sommé de s'expliquer sur cette monstrueuse décision de destruction alors que l'ensemble immobilier faisait l'admiration du monde entier . L'empereur a argué que le donjon présentait un risque militaire et abritait un poste de commandement et d'observation.

En ce début de la première guerre où le téléphone était le moyen le plus moderne au service des états majors, cette photo interpelle énormément .

Le maintien en ruine, décrété par Doumer, est déclaré “ pour montrer au monde la barbarie du peuple allemand” mais ne rend-il pas aussi impossible l'accès à la preuve de l'importance du poste militaire résidant dans son sous-sol ?

On comprend dès lors mieux le commentaire d'interdiction et de censure qui s'affiche toujours à côté de l'image mais semble caduc puisque la photo est accessible .
Pour le monde entier, il faut cesser cette atteinte à la volonté de paix et à la vérité historique, d'autant que les victimes ne sont ni les militaires, ni les gouvernants mais les simples citoyens européens .
Si le secret militaire est caduc .... le texte de barbarie unilatérale doit l'être aussi .
Voyez vous-même !

avec le commentaire de la censure !


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A mentonner aussi que si Coucy a hébergé une grosse Bertha jusqu'en 1917
La France avait aussi des canons de cette împortance qui, au pied d'un donjon; avec un champ de vision de plus de 30km de distance,
constituaient un danger réel, une fois le plan Alberich exécuté.
Ces canons français, montés dès 1915, sont peu montrés dans nos livres d'histoire;
mais les Allemands en ont capturé en 1918 tout près de Coucy

Canon ferroviaire français. le Staifia obusier de 370 réalisé en 1915
pris par les allemands intact le 27 mai 1918 dans des garages de l'ALVF situé à l'arrière du Chemin des Dames en l'absence de leurs servants occupés à construre des positions sur la Montagne de Reims, vu vers Laon
La prise totale, considérable, montre combien la proximité de Coucy a été centrale lors de la 1ère guerre mondiale!
En tout, ce 27 mai 1918, journée noire de l'ALVF, pour la seule fois de la guerre, des pertes de matériels ALVF ont eu lieu après la rupture du front et dans certains cas, après la coupure des voies ferrées permettant le repli.
Ces pertes représentent: 4 obusiers de 370 mm modèle 1915, 1 canon de 305 modèle 1893-96 à glissement, 2 canons de 285 modèle 1917 Glissement, 1 canon de 274 mm Glissement, 8 canons de 240 TR modèle 1903 et 6 canons de 19 G sur affût de circonstance.
A la signature du traité de Versailles, les allemands ont restitué 3 obusiers de 370, 1 canon de 305, 2 canons de 285.Un 370 a été ferraillé en Allemagne, le 274 que les français avaient fait sauter a été découpé par les allemands sur sa position de tir, 5 canons de 240 TR sabordés avaient été laissés sur place près de Margival les autres 240 TR (très endommagés par des destructions internes) et les 19 G ont été ferraillés en Allemagne avant l'armistice.
Les allemands ont abondamment photographié ces pièces capturées.
La guerre s'est aussi par l'information .



Comment ne pas faire le lien avec la Grosse Bertha de Coucy, installé dès 1914-1915 et la visite de Guillaume II qui a vu le centre de commandement laissé par les Français dans le sous sol du Donjon .
Guillaume II avait des espions en France ( Mata-Hari et d'autres) et savait que la France avait depuis 1915 un canon parfaitement équivalent au sien et capable de tirer au delà de la ligne de repli dite Hindenburg .
En invoquant le risque militaire pour son armée, il savait bien de quoi il parlait.
La destruction anéantissait le centre de commandement et les vues lointaines d'une arme dont il connaissait bien les capacités.
La France, en censurant la diffusion de la photo du sous-sol et en ayant toujours gardé confidentiel son gros canon, cache la vérité .
En proclamant que la destruction est due à la volonté d'anéantir la "fièrté féodale française ", l'administrateur du CMM ment comme la France ment avec la "barbarie du peuple allemand ".

Comment se fait-il que Coucy ait été choisi pour être exclu des "réparations" ?
Le monde entier savait certainement lors de la conférence de Lausanne, où est enterré Viollet-le-duc,que Coucy n'était pas une victime civile mais militaire .
La ruine, si elle n'est pas rapidement déclarée caduque, sera la responsabilité du seul Etat Français et les citoyens européens seront fondés à réclamer des indemnités et réparations !
La grande soeur;" La grosse Bertha de Coucy ",