The European Parliament, through the resolution on "European historical consciousness", has clearly committed States to act and abolish all traces of hostility, even hatred, which hinder the construction of a Union of the peoples who compose it. Since 2004, the Association for the Restoration of the Keep of Coucy-le-Château (Ardocc), through three petitions, has reported that this considerable monument of the European Middle Ages was lying and must be kept in ruins to "show future generations the barbarity of the German people". All the direct actions of the association with the French State have not resulted in the declaration of the obsolescence of this text, nor in the end of the state of ruin. To its last petition, Parliament responded that, despite its merits, Europe did not have the authority to act with the French authority, historically responsible for this text. (see attached document) This situation is simply intolerable for civil society because it highlights the political obstacle to the successful construction of a peaceful Europe. The European Commission must, on this subject, bring the spirit and the letter into conformity, succeed in eliminating this obstacle and, through this simple directive, allow civil society to contribute to returning to European heritage an emblematic monument of the Middle Ages, as a symbol of peace between peoples.

En Français Le Parlement européen , par la résolution sur la "conscience historique européenne" a clairement engagé les Etats à agir et abolir toutes les traces d'hostilité, voire haine, qui entravent la construction d'une Union des peuples qui la composent. Depuis 2004, l'Association pour la restauration du donjon de Coucy-le-château( Ardocc), par trois pétitions, a signalé que ce monument considérable du moyen âge européen gisait et devait être maintenu en ruine pour "montrer aux générations futures la barbarie du peuple allemand". Toutes les actions directes de l'association auprès de l'Etat français n'ont pas abouti à la prononciation de la caducité de ce texte, ni à la fin de l'état de ruine . A sa dernière pétition, le Parlement a répondu que , malgré son bien fondé, l'Europe n'avait pas autorité à agir auprès de l'autorité française, responsable historiquement de ce texte..( voir pièce attachée) Cette situation est simplement intolérable pour la société civile car elle met en évidence l'entrave politicienne à la bonne construction d'une Europe pacifiée. La commission européenne se doit, sur ce sujet, de mettre en conformité l'esprit et la lettre, arriver à éteindre cette entrave et, par cette simple directive, permettre à la société civile de contribuer à rendre au patrimoine européen un monument emblématique du moyen âge, comme symbole .de paix entre les peuples